Opinions
Sortir par le haut [Par Jamal Berraoui]
Les déclarations d’Ahmed Rahhou sont claires et très importantes. Le Conseil de la concurrence qu’il préside n’a pas pour tâche de fixer les prix, d’ailleurs, il est contre toute tentation de fausser le jeu du marché, en fixant les prix de manière administrative. La seule intervention dont il admet la
Face à la tempête : de l’agilité [Par Jamal Berraoui]
Le programme gouvernemental a été violemment percuté par quatre éléments exogènes : la sécheresse, l’inflation, le coût de l’énergie et les ruptures de chaînes au niveau du marché mondial. L’exécutif n’a aucune responsabilité dans ces évènements, il en subit les conséquences. La sécheresse est un phénomène naturel, le Maroc pays semi-aride
A Contre-courant. Et si Poutine avait ses raisons ? [Par Jamal Berraoui]
La crise ukrainienne n’est pas le fruit de quelques mois de tension. Elle a des racines historiques, et est exacerbée par l’attitude US vis-à-vis de la Russie, depuis la chute du mur de Berlin et la catastrophique période Eltsine. Tordons le cou à la propagande. L’annexion de la Crimée en 2014,
Quand le conjoncturel heurte le stratégique [Par Jamal Berraoui]
Il pleut des milliards et ce n’est ni suffisant, ni rassurant. L’exécutif s’était engagé sur des réformes structurelles, de l’investissement public, l’Etat-social, mais aussi la croissance, les projets structurants. C’est trop facile de lui jeter la pierre. Le Covid continue de faire des siennes, et la réponse sanitaire est indiscutablement
Se projeter dans l’avenir [Par Jamal Berraoui]
Les 100 jours ne sont pas une tradition marocaine. Cela se comprend, s’explique. Les gouvernements étaient l’émanation du palais, qui lui, a la garantie de la permanence. Mais, depuis 2011, l’exécutif a un nouveau statut. Le gouvernement actuel est le fruit d’une alternance, non pas consensuelle, mais démocratique. Le Chef
Sahara : la sérénité du Maroc [Par Jamal Berraoui]
Le nouveau représentant du Secrétaire général de l’ONU pour le dossier du Sahara reprend son bâton de pèlerin. Alger ne peut pas se dérober, elle est partie prenante du conflit, selon la communauté internationale. Le Maroc, grâce à sa patience, a engrangé des points décisifs dans ce processus onusien. Celui-ci
Au-delà du Covid, la santé publique [Par Jamal Berraoui]
Le Ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, a accepté de jouer le jeu de «décryptage». Ce programme où plusieurs intervenants, non formatés, posent des questions, en direct, et il s’en est très bien sorti, preuve que la transparence est un atout, pas une faiblesse. Sur le Covid, le Ministre
Horizon éclairci, route sinueuse [Par Jamal Berraoui]
Le débat public est atone. Les éditorialistes vivent leurs plus mauvais moments parce qu’il n’y a pas d’actualité. Les discours de la majorité, comme ceux de l’opposition sont visqueux, peu malléables, parce qu’ils relèvent de l’incantation et qu’un commentateur préfère les faits. Pourtant, le concept d’Etat social est une vraie
Vers des états généraux des médias [Par Jamal Berraoui]
On peut dire que le gouvernement a entamé le dossier des médias par le bon bout : une large concertation sur les défis à relever. C’est le bon bout parce qu’on ne prévoit pas de s’en tenir au diagnostic, cette approche s’inscrivant dans la durée. Les défis pour les médias sont
2022 : Pour un optimisme raisonnable [Par Jamal Berraoui]
Il faut reconnaître, et se féliciter, du degré de résilience du Maroc. Malgré les contraintes, très fortes, nous avons traversé 2021 avec un minimum de dégâts, comparativement à des pays similaires. Et ce, sur le plan économique, sanitaire. Pour le reste, nous sommes logés à la même enseigne. Sauf que
Les questions éthiques posées par la pandémie [Par Jamal Berraoui]
De par le Monde, face au Covid, les populations se sont résignées à la perte de libertés fondamentales, que les pays aient choisi le stop and go, ou le Covid zéro, comme en Chine. C’est malheureux, mais les humains, dans leur grande majorité, acceptent toutes les atteintes à leur liberté, parce
Et si on faisait preuve d’optimisme [Par Jamal Berraoui]
L’angoisse reprend le dessus et la communication officielle n’aide pas. Si on peut considérer que le nouveau variant, beaucoup plus contagieux prendra le dessus et que le nombre de contagions va sûrement exploser, il est établi que le variant Omicron est moins agressif. C’est la faiblesse de nos capacités hospitalières