L’inflation impacte les rapports sociaux [Par Jamal Berraoui]
Beaucoup de gouvernants, dont les nôtres ont préféré croire que le phénomène inflationniste n’était que conjoncturel. Le fait qu’il ait débuté à la sortie de la crise sanitaire, du Covid-19 et que les circuits de distribution disfonctionnent face à une demande croissante était leur argument et il était conséquent. Même
Ukraine : et maintenant ? [Par Jamal Berraoui]
L’on sait depuis toujours, que les premières victimes de la guerre sont les civiles et la vérité. Les images relayées par les chaines de télévision sont insoutenables. Mais il faut préciser que les médias internationaux sont mono-source, totalement alignés sur les positions ukrainiennes et que la propagande est omni présente.
Ranimer la politique [Par Jamal Berraoui]
Revoir un dirigeant du PJD s’exprimer sur une chaîne qatarie, l’annonce d’une coordination entre les partis d’opposition, pour défendre la démocratie peut donner l’impression d’une vitalité retrouvée de la vie politique. Ce n’est malheureusement qu’une illusion. Car cette contestation, est cantonnée à des questions procédurales dans le fonctionnement du parlement.
Un monde dangereux [Par Jamal Berraoui]
La guerre en Ukraine monopolise tous les écrans. Le plus grave, ce ne sont pas les massacres. Il n’y a pas de guerre propre on le savait, mais les effets durables de ce conflit. L’Occident uni derrière les USA a ressuscité le bloc contre bloc une sorte de guerre tiède
Dialogue social : la bonne méthode [Par Jamal Berraoui]
Les résultats du dialogue social sont mitigés. Les fonctionnaires gagnent une plus grande fluidité du déroulement de carrière, un effet rétroactif qui ouvre la perspective de rappels conséquents. Les salariés du privé n’ont que la hausse du SMIG, importante il est vrai. Ce qui est commun, les allocations familiales et
Se concentrer sur les secteurs porteurs [Par Jamal Berraoui]
Le gouvernement a fait ses choix. En démocratie on en prend acte d’abord, on les critique ensuite s’il y a lieu. Maintenant on ne peut pas tout sacrifier au social, nous avons un outil productif à soutenir, des secteurs à maintenir, d’autres porteurs à accompagner pour aller au plus haut
Les incertitudes [Par Jamal Berraoui]
La guerre en Ukraine est un évènement historique qui aura des effets profonds dans le monde de demain. Il ne s’agit pas ici de commenter la guerre en elle-même, mais de se projeter sur le monde de demain, parce que l’affrontement Occident-Russie se perpétuera. Cet affrontement impactera les relations internationales
Le pari de l’exécutif [Par Jamal Berraoui]
Aziz Akhannouch a été très clair. Le Chef du gouvernement a écarté la possibilité d’une loi de Finances rectificative et a promis de tenir tous ses engagements, en particulier sur le plan social et qu’il trouvera les moyens financiers pour le faire. Il n’y a pas de raison de douter
Sortir par le haut [Par Jamal Berraoui]
Les déclarations d’Ahmed Rahhou sont claires et très importantes. Le Conseil de la concurrence qu’il préside n’a pas pour tâche de fixer les prix, d’ailleurs, il est contre toute tentation de fausser le jeu du marché, en fixant les prix de manière administrative. La seule intervention dont il admet la
Face à la tempête : de l’agilité [Par Jamal Berraoui]
Le programme gouvernemental a été violemment percuté par quatre éléments exogènes : la sécheresse, l’inflation, le coût de l’énergie et les ruptures de chaînes au niveau du marché mondial. L’exécutif n’a aucune responsabilité dans ces évènements, il en subit les conséquences. La sécheresse est un phénomène naturel, le Maroc pays semi-aride
A Contre-courant. Et si Poutine avait ses raisons ? [Par Jamal Berraoui]
La crise ukrainienne n’est pas le fruit de quelques mois de tension. Elle a des racines historiques, et est exacerbée par l’attitude US vis-à-vis de la Russie, depuis la chute du mur de Berlin et la catastrophique période Eltsine. Tordons le cou à la propagande. L’annexion de la Crimée en 2014,
Se projeter dans l’avenir [Par Jamal Berraoui]
Les 100 jours ne sont pas une tradition marocaine. Cela se comprend, s’explique. Les gouvernements étaient l’émanation du palais, qui lui, a la garantie de la permanence. Mais, depuis 2011, l’exécutif a un nouveau statut. Le gouvernement actuel est le fruit d’une alternance, non pas consensuelle, mais démocratique. Le Chef