Lekjaa, blessé, mais pas abattu
On nous dit que l’homme est sensible et que les critiques lui font mal. C’est plutôt difficile pour un homme appelé à s’exposer au jugement public et qui, ces derniers jours, en aura entendu des vertes et des pas mûres. Pourtant, Fouzi Lekjaa, c’est de lui qu’il s’agit, aurait dû
Le Qatar… malgré tout
Fini les quolibets Bien sûr, et comme d’habitude, la presse occidentale (française en particulier) n’a pu s’empêcher de se livrer à son jeu de fléchettes favori : à savoir épingler les personnes, les régimes et même les pays au gré de leurs préjugés. Ainsi que n’a-t-on pas lu sur le Qatar,
Football : Le score et le contenu
Être jugé C’était il y a déjà quelques années à Nador, où le club local du Hilal avait organisé une rencontre entre comité, supporters et journalistes. Devant une salle comble, où, comme d’habitude, en pareil cas chacun lançait des reproches sur le dos des autres, il y eut un magnifique
Faire avec…
Indifférence Puisque parait-il, tout devrait commencer et finir par des chansons, évoquons ce refrain qui, au siècle dernier, tout en trustant les sommets du hit-parade français, trottait dans les esprits et les cœurs des personnes sensibles à l’émotion. Gilbert Bécaud, affublé à son époque du surnom de « monsieur 100.000
Lekjaâ est-il usé ?
La fin des certitudes Il plane une drôle d’ambiance sur le foot marocain, et cela rejaillit sur la personne de celui qui «garde le ballon» à la tête de la FRMF. Le président Fouzi Lekjaa, c’est de lui qu’il s’agit, est-il fatigué, déçu, usé, lassé par l’effondrement de toutes ses
Jeux africains : C’est tout bon ou c’est bidon ?
De l’indifférence à la connivence Chacun a vu ce qu’il a bien voulu voir dans ces Jeux africains que le Maroc a abrités en ce mois d’août dernier. Pour les uns l’essentiel a été fait, réalisé et même réussi, alors que pour d’autres ce rendez-vous continental n’a fait que souligner
Oui, cette CAN 2019 fut belle…
L’écrivain Jean D’Ormesson, dont la célébrité dépassa les frontières de l’hexagone, son pays natal, a laissé une très riche œuvre pour la littérature française et universelle. Cet auteur qui vécut très longtemps, avant de mourir le même jour que Johnny Halliday, avait choisi comme titre d’un de ses derniers livres,
Avec des «si»
Chronique de procès… préfabriqués L’attente était tellement énorme que la déception – puisque déception il y eut – ne pouvait qu’accoucher de l’énième mur des lamentations sur lequel toutes les rancœurs, toutes les méchancetés et donc toutes les bêtises sont venues s’épancher, depuis qu’une boule de cuir est partie s’écraser
Ahizoune s’en va…Vers où ? Comment ? Et pourquoi ?
C’est sorti comme ça, sur un de ces sites d’infos qui pullulent en ces temps où la Raison a toutes les peines du monde pour survivre face à la désinformation et à la démagogie. Qu’on se le dise, bonnes gens, et qu’on se le répète à satiété pour bien l’inculquer,
«Au commencement, était le verbe»
De l’importance de la prise de parole Motiver, encadrer, orienter, convaincre, pousser quelqu’un à la performance ou, au contraire, le décourager et le démoraliser tout cela, au départ, se fait à l’aide de la parole. Que seraient les harangues, les discours, qu’ils soient politiques ou militaires sans le pouvoir de
20 sur 20 pour le Wydad
Des esprits chagrins (il y en aura toujours et pour certains domaines, il y en a même de plus en plus) titillent et taquinent le Wydad sur le chiffre réel quant au nombre de ses trophées de vainqueur de la Botola. Si le club légendaire de la non moins légendaire
Can 2019 : on entre dans le vif du sujet
Logistique impeccable mais logique douteuse… La CAN 2019 arrive à grands pas. Les esprits s’enflamment et les passions s’attisent… Tous ceux que le football intéresse ou attire sont en train de se mettre une pression incroyable. A la FRMF, on est sens dessus dessous, et il faut les nerfs solides