Opinions
Des temps changeants [Par Jamal Berraoui]
« Challenge » publie cette semaine un dossier intéressant. Les importateurs de produits chinois sont impactés par la crise énergétique en Chine. La hausse des prix du charbon, a créé un problème d’approvisionnement en électricité, qui ralentit la production. Pour d’autres raisons, le transport maritime international est en burn-out. Les prix des
France. Zemmour n’est qu’un symptôme [Par Jamal Berraoui ]
Eric Zemmour, polémiste d’extrême droite, une sorte de Bannon français est crédité de 17 % des voix, ce qui pourrait le mener au deuxième tour. C’est la sensation de cette précampagne, les médias alimentent le phénomène, et les politiques oublient leurs propositions, pour suivre les polémiques, les outrances quotidiennes de
Pass vaccinal. Le grand foutoir [par Jamal Berraoui]
Tous les pays du monde qui ont atteint un niveau de vaccination conséquent, ont adopté le pass sanitaire. Celui-ci, a pour objectif d’élargir les ouvertures, mais surtout, de forcer les citoyens à offrir leur bras à la piqûre, s’ils veulent avoir une vie sociale. Le Maroc, étant dans la même
Gouvernement. Vers un libéralisme social [Par Jamal Berraoui]
Il faut croire que la pandémie du Covid a, quand même, du bon. Les libéraux de par le monde ont remisé leurs dogmes. Plus personne ne parle du musellement, pourtant mythe fondateur de cette doctrine. Pour les équilibres fondamentaux, on attendra un jour. Il faut bien payer la dette publique,
Une nouvelle ère [Par Jamal Berraoui]
Le nouveau gouvernement représente plusieurs points de rupture. D’abord, la moyenne d’âge est très basse. Ce sont des profils jeunes mais qui ont déjà donné satisfaction dans leur parcours. Le mélange avec d’autres profils, plus confirmés, ne peut être que profitable. Ce ne sont pas des politiciens, au sens premier
Tous les espoirs sont permis [Par Jamal Berraoui]
Avec les élections indirectes, pour constituer la deuxième Chambre, le processus électoral est clos. Sans surprise, la coalition tripartite a une majorité confortable dans les deux Chambres. Ceci devrait assurer une fluidité dans le travail législatif, facilitant le travail du gouvernement. Ces changements institutionnels ne devraient pas susciter l’engouement des
Maroc. Une diplomatie sereine, mais offensive [Par Jamal Berraoui]
Si tous les regards sont rivés sur la constitution du nouveau gouvernement, le Maroc est en butte à des développements contraignants sur la scène diplomatique. Oublions l’Algérie, cela n’a aucun intérêt, ce régime a choisi de faire du Maroc, de l’animosité face au Maroc, une carte de politique intérieure. Le
Gouvernement. Les voies du succès
La coalition tripartite prépare son gouvernement. On sait que Ouahbi n’en sera pas et que Talbi El Alami, l’Ancien président du Parlement aura juste le groupe du RNI. Ces questions de personnes ne sont pas déterminantes. Le programme l’est beaucoup plus. Les attentes sont grandes, tant sur le plan social,
Maroc. Pour un nouveau contrat social [Par Jamal Berraoui]
Les élections du 8 septembre ont été un moment politique important. Elles ont fermé, provisoirement la parenthèse Islamiste, et ont donné la primauté à un courant que l’on pourrait qualifier de libéral-social. Il n’est pas question de se positionner par rapport aux alliances. La vie politique a ses règles, souvent
Maroc. La rentrée de l’engagement
Le discours Royal du 20 août a été clair sur les contingences régionales et la force qui doit être la nôtre pour les affronter. Nous avons le substrat historique, en dehors de tout narcissisme, mais nous avons aussi des institutions fiables, qu’elles soient sécuritaires, gestionnaires ou représentatives. Face au Covid-19,
Afghanistan : la fin du «Build State»
Débâcle, débandade, les mots sont crus pour qualifier ce qui s’est passé à Kaboul. Pourtant, tout cela était prévisible dès la signature par l’administration Trump de l’accord de Doha. Mais les services de renseignement comptaient sur une résistance de l’armée Afghane de 90 jours, les Talibans ont repris le pays
Pegasus. La cabale finit dans le ridicule
En cinq jours, il y a eu 28000 écrits sur internet concernant le Maroc et la pseudo-affaire dite Pegasus. Mais, le soufflet est retombé. Pourquoi ? Parce que trop de trous sont apparus dans la raquette. Le Maroc a porté l’affaire devant la Justice française, contre Amnesty International et Forbidden Stories.