Doom : Double dose d’action pour un classique
On ne présente plus Doom, le jeu emblématique de la génération «Swarzy» et «Stallone». Pour ce quatrième volet de la saga, on plonge immédiatement dans l’action, avec un arsenal technologique pour se transformer en exterminateur de monstres en l’espace de quelques heures. On jubile devant les pixels améliorés qui donnent un «coup de jeune» à l’une des franchises les plus mythiques du jeu.
Il y a 23 ans, naissait un jeu d’un genre nouveau qui a fait à lui seul école: Doom. Ces jeux de tirs à la première personne (FPS) étaient longtemps surnommés «doom like», et à raison. Le jeu se voulait minimaliste (certains le terminent en quelques minutes), mais donne au joueur une double dose d’hémoglobine après une destruction de monstres à coups de «phasma».
N’en déplaise aux chercheurs, ce ne sont pas les jeux qui rendent mauvais, c’est la vie! Et avec ce 4ème Doom de la franchise, l’éditeur renoue avec la recette qui a fait le succès du premier Doom en 1993: l’action.
On joue principalement seul, contre des hordes de démons, avec un éventail d’armes développées qui donne réellement une impression de puissance. Bien entendu, il y a également la possibilité de se battre au corps à corps.
Autre innovation, le jeu permet de créer ses propres cartes, pour prolonger la vie du jeu, et de jouer avec ses propres règles. Enfin, Doom mise également sur le jeu en équipe puisque jusqu’à 6 joueurs peuvent se joindre au «fun».
Clairement, Doom est un classique, que les jeunes de moins de 30 ans ne peuvent pas connaître, mais toute la lignée des «Counter strike» et autres FPS où un adolescent boutonneux peut tenir la dragée haute à un Navy Seals (le test a été fait sur internet) descend de ce petit jeu sans prétention, où il faut «tirer plus vite que son ombre».