Une fois de plus , le pouvoir algérien est pris en flagrant délit et de délire de mensonge et de désinformation au sujet de l’implacable lutte anti-drogue  du Maroc.

Pour Alger et dans sa fuite en avant afin de  masquer ses problèmes internes, tous les moyens sont bons pour porter atteinte au Royaume.

Dernier mensonge en date de l’Algérie officielle prétend que le Maroc inonde son voisin de drogue or le contraire et vrai. C’est ce que le ministre marocain de l’Intérieur Mohamed Hassada  a démontré hier à Rabat lors d’une conférence de presse tenue conjointement avec le ministre de la communication , porte-parole du gouvernement ,Mustapha El Khalfi et le ministre délégué à l’intérieur, Cherki Draiss.

Hassad a fait parler les chiffres pour dénoncer une véritable guerre que mène l’Algérie contre la jeunesse marocaine et par  ricochet tout faire pour déstabiliser notre pays en recourant à une arme de destruction massive à savoir les psychotropes fabriqués dans la pharmacie centrale algérienne  Saidal.

Ainsi et rien qu’en 2013, les autorités marocaines ont saisi plus de 450.000 comprimés venant de l’Algérie.

Hassad a rappelé que le Maroc a toujours tendu la main au voisin pour une meilleure collaboration dans la lutte contre le trafic de drogues à l’instar de ce qui sa fait avec le G4 (Maroc, Espagne, France, Portugal).

Les efforts et la stratégie  du Maroc ont été salués à l’international. D’ailleurs au moment où l’Algérie devient plateforme et exportatrice de la drogue sous toutes ses formes, le Royaume a ramené les superficies cultivées de cannabis de 134.000 à 47.000 hectares et poursuit sa politique dans ce sens.

L’Algérie qui entretient sur son sol des cartels de trafiquants de drogue, d’armes pour financer le terrorisme régional, refuse toute coopération. Bien pire comme l’a souligné Hassad :L’Algérie préside la sous-commission chargée de la lutte anti-drogue au sein de l’Union du Maghreb arabe et au lieu de réunir cette structure pour faire converger les efforts collectifs des pays de la région, le gouvernement algérien n’ a pris aucune initiative, et opte plutôt pour le dénigrement » et le ministre de s’interroger : comment deux pays qui ne se parlent pas , pourraient ils mener une lutte commune et efficace contre des réseaux qui s’activent de part et d’autre des frontières ? ».

Il est clair que le pouvoir algérien doit balayer devant chez lui et comme dit l’adage populaire : On peut mentir quelque temps à quelques gens mains on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde !