Dans son discours prononcé  le mercredi 30 juillet à l’occasion de la Fête du Trône, S.M. le Roi Mohammed VI a appelé à entreprendre une étude pour mesurer la valeur globale du Maroc au cours des 15 dernières années.

Mission que le Souverain a confiée à  Nizar Baraka, Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et Abdellatif Jouahri, Wali Bank Al Maghrib.

C’est dans ce contexte que Nizar Baraka se retrouve aujourd’hui ‘hui pratiquement à a Une des quotidiens parus ce vendredi 1^er août sans oublier ses interventions sur les ondes et les télés accordant interviews et expliquant la responsabilité qui incombe à Bank Al-Maghrib et le CESE pour mener à bien cette étude.

Baraka nous apprend que ce travail prendra huit mois avant de remettre un rapport détaillé et définitif au Souverain.

Sans tarder, le travail commence dés ce vendredi avec la réunion du bureau du CESE pour arrêter une méthodologie de travail et mettre sur pied les commissions appelées à plancher sur les divers axes et questions relatifs  à cette étude.

Selon Nizar Bara, ladite évaluation reposera notamment sur l’intégration des différentes composantes de la richesse .les ressources naturelles, le capital financier

Et le président d’expliquer que la richesse nationale se compose de deux parties. La première l’a qualifiée de classique à savoir  et entre autres, les ressources naturelles, le capital financier.

La deuxième partie difficilement mesurable a trait au capital immatériel qui prend en considération  et à titre d’exemple, la qualité des institutions, la gouvernance, la stabilité politique et la sécurité, le capital humain et social.

Objectif affiché : impacter les politiques publiques pour un meilleur partage des riches.