Intelligence sécuritaire. La stratégie marocaine assomme l’Algérie : la nébuleuse Junte militaire algérienne, entre Polisario-risme et Noi-risme [Par Mehdi Hijaouy]
Intenses et folles provocations du Royaume du Maroc, sidérations et colères suite à la normalisation des relations maroco-israéliennes, accusations portées à l’Etat hébreux de vouloir la déstabiliser, tueries au Mali, visant deux innocents camionneurs, massacres de pauvres kabyles ou encore crise diplomatique irraisonnée avec la France …
Des comportements déséquilibrés qui dénotent que les hommes au pouvoir en Algérie, déjà connus, depuis plusieurs décennies, par le fait de sombrer dans l’absurde, souffrent, aujourd’hui, de sérieuses déficiences psychologiques, entre, notamment, dépressions, hystéries, schizophrénies ou encore troubles bipolaires et obsessionnels compulsifs.
Rien qu’au mois d’août 2021, lors de ses sorties médiatiques ubuesques, Abdelmadjid Tebboune, dans un état plus ou moins normal, avait bluffé, en toute assurance, en avançant que la Chine était devenue membre de l’ONU, grâce au soutien de son pays, ou encore en culpabilisant le Maroc et Israël d’être les principaux responsables des incendies meurtriers en Kabylie.
Ce ne sont là que quelques exemples de menteries et de mystifications brodées par la junte militaire au pouvoir, en vue d’accouder leur politique étrangère, complètement out.
De tels comportements ne manquent pas de faire réagir, continuellement, au niveau de la toile numérique, notamment, des Algériens, intègres et intellectuels, exilés à l’étranger, pour la plupart d’entre-eux en Europe, en injuriant Tebboune, le plus souvent de grand menteur et de marionnette.
Ce pouvoir algérien est devenu, pour la communauté internationale, le divertimento du XXIème siècle.
Un diagnostic que le commun des mortels poserait sans hésitation et avec fine précision, sans pour autant être médecin, psychologue ou psychiatre.
Autant de faits, parfaitement assimilables à des aventures imaginaires, lesquels interpelleraient, en parfaite évidence, toute personne qui relèverait la présence de signes extrêmement maladifs et incurables.
Je reprends ainsi les propos de l’écrivain Tahar Benjelloun qui conclut que le pouvoir algérien et particulièrement ses caporaux « avaient été dopés à l’anti-marocanisme primaire, une sorte de maladie orpheline. Aucun dictionnaire ne l’explique et aucun médicament ne la soigne. »
Chose qui a été confirmée, depuis la guerre des sables, à nos jours.
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Que se passe-t-il réellement ? Une question qui a été posée, à maintes reprises, au niveau des réseaux sociaux et dont les réponses allaient toujours dans un même sens. Des internautes, de toutes nationalités confondues, y compris algériennes, répliquaient en disant :
« Pauvres caporaux algériens au pouvoir : aviez-vous perdu discernement et raison ? Pas à cause de votre âge, relativement avancé, car combien même d’octogénaires, excellents conseillers, sont connus pour leur sens élevé de sagesse et de logique. Tendez la main à votre voisin pour vous apporter assistance ou le cas échéant, faites au moins quelque chose pour votre pays et votre population, lesquels sombrent dans la misère et le sous-développement. »
Cela n’a donc rien à voir avec l’âge avancé de la junte militaire au pouvoir mais il s’agit, plutôt, d’une pure question de folie, à l’exemple de Mouammar Kadhafi à son époque ou de Bachar Al-Assad, de nos jours.
Malheureusement, le Droit international ne prévoit aucune disposition juridique contraignante, qui obligerait un Etat à s’assurer, durant tout son mandat, de manière cyclique (annuellement), que le président en exercice reste dans toutes ses capacités mentales alors que tous les dirigeants algériens ne semblent disposer d’aucune faculté mentale.
A vrai dire, il n’y a pas de secret : la Constitution algérienne demeure en totale non-conformité avec le Droit international et les meilleures pratiques, accusant ainsi des lustres de retard en termes d’équité, de justice et de Droits de l’Homme dans un sens large, ne prévoyant pas le moindre garde-fou pour un Président imprévisible.
Sauf que les cas de Tebboune, voire de Saïd Chengriha, sont, vraiment, désespérés, à même de pouvoir remplir un rôle élémentaire de simples figurants.
Un misérable Abdelmajid Tebboune, partisan du Polisario-risme
Commandité par la junte militaire au pouvoir, Tebboune est champion du Noi-risme, œuvrant pour une déstabilisation de l’Afrique occidentale.
Seul instrument mis à sa disposition pour atteindre cet objectif, de pauvres algériens, séquestrés et endoctrinés ou encore des mercenaires issus de différentes doctrines et courants extrémistes, sont enrôlés pour semer la terreur dans la région du Sahel, tous, finalement issus du fictif Polisario.
Toutefois, les USA, première puissance mondiale à date, ont reconnu la marocanité du Sahara et par ricochet ont fait comprendre, de manière claire et subtile, que le pseudo-Rasd est un fantôme monté en toute pièce.
D’ailleurs, Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU, avait annoncé dans son dernier rapport annuel sur la situation au Sahara du 1er septembre 2020 au 31 août 2021, remis le 3 octobre 2021 au Conseil de sécurité, que l’autonomie est l’unique solution de l’affaire du Sahara, tout en énumérant les développements et importants investissements survenus au Sahara.
A cet égard, un Appel international est lancé à l’ONU, aux ONGS et à toutes les associations, à caractère humanitaire, pour intervenir, éminemment, chez le voisin et condamner cette junte militaire au pouvoir, pour crimes de génocides et implication dans des affaires criminelles universelles de haute envergure, particulièrement de terrorisme, à travers le Polisario, cette sorte de mafia écran, de constitution algérienne, utilisée pour faire diversion et cacher le principal suspect.
Finalement, le Polisario-risme, un faux prétexte, devient donc la pièce maitresse, depuis un bail, sur laquelle Tebboune et les caporaux au pouvoir y voient leurs intérêts.
L’Economie et le Social algériens au bord du gouffre
L’Algérie n’a jamais connu de crise économique et sociale aussi profondes, traduite par une totale instabilité du pays.
Pour cela, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’Assiste, n’a pas épargné le moindre effort pour apporter un soutien indéfectible à ce jeune enfant, qu’est le voisin, sauf que ce dernier s’entête et s’abstient dans sa position, allant droit au mur.
Aussi et malgré le refus du pouvoir algérien à temporiser et à rétablir ses relations avec le Royaume chérifien, ce dernier, grâce à la sagesse du Souverain, insiste, ardemment, auprès de son voisin, à même de le raisonner, pour une reprise de leurs relations.
En fait, le Maroc, en tant que puissance régionale émergente a tellement perturbé le monde, particulièrement le voisin, le complexant à un point imaginaire d’affolement qu’il ne veuille plus en entendre parler.
Pourtant, le Maroc est un Etat qui est reconnu pour sa grande noblesse, sa sagesse, sa générosité, sans limites, son tempérament pacifique et sa fidèle africanité, était prédisposé à lui être d’un grand secours.
Stratégie, Bravoure et Professionnalisme de la Sécurité et du Renseignement
Le Renseignement marocain, l’un des plus puissants à l’échelle internationale, aurait pu veiller sur la stabilité et la sécurité de l’Union du Maghreb Arabe, sur les plans national et régional.
Sous la houlette de Sa Majesté le Roi Mohammed VI Que Dieu le Glorifie, une majestueuse et éminente Stratégie sécuritaire nationale hors pair a été édifiée, laquelle est devenue, une référence mondiale incontestable, ébranlant ainsi, par ses brillants résultats, le commun des mortels, à maints égards.
Chose qui a permis au Maroc d’être à l’abri de tout acte malveillant qui porterait préjudice à ses intérêts suprêmes mais aussi de contribuer, de manière très significative, à la sécurité et à la sureté de ses frontières avoisinantes, particulièrement africaines et européennes.
Par Mehdi Hijaouy, expert en Securité, Sûreté, Renseignement et Intelligences économique et stratégique. Fondateur du Washington Strategic Intelligence Center, Mehdi Hijaouy est titulaire d’un Executive MBA en « Stratégie d’Influence, Négociation et Guerre Psychologique » – École de Guerre Économique (EGE), Paris et d’un Executive MBA en « Management des Risques, Sûreté Internationale et Cybersécurité » – EGE, Paris.