Leur gestion passerait au privé ?
Afin d’accélérer le processus de verbalisation et de désengorger ses services, incapables de tenir la cadence, le ministère des Transports compte faire appel à une entreprise privée pour la gestion des 970 radars de vitesse déjà installés, lit-on sur Bladi.net, ainsi que l’installation de 120 autres radars qui seront placés sur des feux tricolores. A suivre.