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Le chiffre du jour
15 %
Le taux de transformation des produits agricoles ne dépasse guère les 15% au Maroc. A titre de comparaison, la Tunisie est à 35% de taux de transformation alors que d’autres pays européens sont à 100%.
Le billet de Jamal Berraoui
Zen, restons zen
Un chanteur de Raï algérien, un Cheb à la con a cru faire preuve de patriotisme en insultant les Marocains, prenant prétexte du très regrettable incident du drapeau algérien. Le plus malheureux ce n’est pas que cette chanson existe, on ne demande pas à un chanteur peu talentueux de réfléchir, mais qu’elle soit diffusée, or, elle l’est. La presse algérienne se félicite que le gouvernement accorde une rallonge de 750 millions de dollars aux Affaires Etrangères. Croyant nous faire peur, ces journaleux précisent que c’est pour conforter l’action sur le Sahara. En clair, pour acheter les consciences. Avec ce montant, l’Algérie aurait pu construire des milliers de logements sociaux. Mais cela elle ne le fait pas alors que l’argent est dans les caisses.
Vers une baisse des prix des produits pétroliers ?
Des calculs réalisés par les opérateurs, sur la base du mécanisme d’indexation mis en place et rapportés par l’Économiste, une baisse des prix des produits pétroliers devrait s’opérer avant ce samedi. Elle serait de l’ordre de 0,43 DH le litre de super, de 0,3 DH le litre de gasoil et de 252 DH la tonne de fuel industriel. A suivre.
Aérien
Croissance de 8,9% du trafic à fin octobre
Dans le sillage du retour gagnant des low-cost et du renforcement de nombreuses dessertes, les aéroports du Maroc ont enregistré à fin octobre dernier une hausse de 8,9% du nombre de passagers transportés par rapport à la même période de l’année précédente, a annoncé l’ONDA. Au total, ce nombre a atteint près de 13,9 millions de passagers dont 6,4 millions enregistrés à l’aéroport Mohammed V (+5,7%), 3,2 millions à l’aéroport Marrakech-Menara (+13,3%) et 1,25 million à l’aéroport Agadir-Al Massira (+6,3%).
Immobilier
Classe moyenne : les premières conventions commencent à affluer
Consécutivement au relèvement attendu du prix de vente fixé pour le logement intermédiaire (7 200 DH dans la Loi de Finances 2014 contre 6000 DH TTC précédemment), 7 promoteurs privés auraient déjà signé des conventions dans ce sens, peut-on lire sur la Vie éco. Ils s’ajoutent ainsi à l’aménageur public Al Omrane. Safi, Oujda, Fès, Kénitra et Had Soualem seraient les premières villes/régions bénéficiaires.
Automobile
Un Grand Prix au Maroc pour 600 millions de dollars ?
Bernie Ecclestone, patron de la Formule 1, pourrait avoir signé avec le royaume un contrat de 600 millions de dollars pour l’organisation d’un Grand Prix au Maroc. C’est ce qu’ont laissé entendre certains médias spécialisés dont Autoweek.com. Bernie Ecclestone avait en effet été aperçu, il y a moins de deux semaines, aux cotés du roi Mohammed VI, lors de la 5ème édition du Grand Prix Formule 1 d’Ettihad Airways, organisée par l’émirat d’Abu Dhabi, sur le circuit Yas Marina. A suivre.
Genre
Le Maroc, 8ème pays arabe où il fait bon vivre pour une femme
Selon l’étude intitulée « Women’s rights in the Arab world » et réalisée dans 22 pays arabes, 336 experts ont donné leur avis sur la condition de la femme dans les pays arabes et ont conclu que les Comores est le champion du monde arabe en matière de droits des femmes. Le Maroc arrive en 8ème position, lit-on sur Lemag.
Immobilier
L’artère la plus chère au monde est à Hong Kong
Selon l’étude annuelle du cabinet Cushman & Wakefield, Causeway Bay (Hong Kong) est l’avenue la plus chère au monde en 2013, devant la 5ème Avenue de New York puis les Champs Elysées. Toutefois, la « plus belle avenue du monde » est l’artère dans le monde où les loyers ont enregistré la plus forte croissance avec un véritable boom de près de 40% de la valeur locative sur un an pour atteindre en moyenne 13 255 euros le m2 par an.
Agenda
L’immigration marocaine en France en débat
A l’occasion du cinquantième anniversaire de l’accord franco-marocain de main d’œuvre signé en 1963, le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) et l’Ambassade de France à Rabat organisent un colloque scientifique portant sur l’immigration marocaine en France, demain à la Bibliothèque Nationale du Royaume du Maroc (BNRM) à Rabat.
Avec une part de marché de 45%, Dolidol est l’un des leaders de son secteur d’activité. Après le secteur automobile, l’entreprise lorgne désormais l’aéronautique.
Crédit Agricole du Maroc soutient le secteur oasien
La banque Crédit Agricole du Maroc (CAM) a activement participé, cette année encore au Salon International des dattes du Maroc, qui s’est tenu à Erfoud du 31 octobre au 3 novembre derniers. Cet événement, placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a été l’occasion pour la banque d’organiser la troisième édition du forum de l’investissement en zone oasienne, le 1er Novembre.
Le décret du Premier ministre devant permettre de mettre en place un système de fixation des prix des médicaments a probablement été atteint du virus de l’attentisme.
Il est le nouveau président de l’Association Marocaine du Marketing et de la Communication (AMMC). Cette dernière a lancé officiellement ses activités hier. C’est ainsi que les membres du Bureau ainsi que le plan d’actions de l’Association ont été présentés. L’AMMC se positionne comme plateforme dédiée à l’échange, le partage et le réseautage entre les Professionnels du Marketing et de la Communication, dont l’adhésion est intuitu personae. L’objectif primaire de l’Association est de faire évoluer ces métiers et de rassembler les énergies positives afin de réfléchir ensemble à des problématiques communes et d’y proposer des solutions et des recommandations alternatives. L’Association vise également à mettre en contribution le savoir-faire de ses membres dans la réflexion autour de thématiques d’envergure nationale, notamment la promotion de la Marque « Maroc » aux niveaux local et international. Du boulot en perspective pour Khalid Baddou. Diplômé de la faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Al Akhawayn d’Ifrane en 2001, le premier et nouveau président de l’AMMC a démarré sa carrière dans la communication, les médias et le Marketing puisqu’il a occupé plusieurs postes de responsabilité dans des entreprises nationales et multinationales. Au cours de ses 12 années d’expérience, Khalid a eu l’opportunité d’opérer dans un environnement régional et international: Maghreb, Moyen-Orient et Afrique du Nord, et Afrique Francophone. Il est actuellement Directeur Régional de la Communication à MSD (3ème groupe mondial en Pharmaceutique). En parallèle avec ses expériences professionnelles, Khalid a été en 2011 l’un des fondateurs de «l’Alliance des Indépendants», un Think Tank Marocain indépendant, dédié aux thématiques politiques et économiques, dont il est actuellement Vice-président. En 2013, il a initié, avec un groupe de managers en Mar/Com, la création de l’AMMC.
On connaissait les paradis fiscaux, ces lieux off-shore où sous couvert d’anonymat on ne paie pas l’impôt. Il va falloir maintenant se familiariser avec leur envers, les enfers fiscaux, ces pays où les contribuables sont pressurés par les prélèvements sans échappatoire possible. Une catégorie dans laquelle la France figurerait en bonne place, et même peut-être à la première, si l’on en croit les “bonnets rouges” et autres manifestants en guerre contre l’écotaxe. La réalité en la matière est que la France est, parmi les pays de l’OCDE, au troisième rang des prélèvements obligatoires, avec 46,1 % du PIB prévus en 2014, assez loin derrière la Suède et le Danemark et leurs recettes publiques à plus de 55 % du PIB. Mais alors qu’en Europe du Nord, la pression fiscale est tolérée, il n’en est plus de même, semble-t-il, dans notre pays. C’est que derrière le niveau élevé de la ponction globale, le système est surtout rendu invivable par l’excès de complexité et d’opacité.
Pourquoi les gestionnaires de fonds d’investissement commencent à sérieusement se préoccuper de la croissance des inégalités
La bourse de Wall Street est actuellement agitée par l’inquiétude croissante de plusieurs gestionnaires de fonds face à la hausse des inégalités outre-Atlantique. Accroissement qui provoquerait une baisse de la productivité.
La méthanisation : un nouveau souffle pour l’agriculture ?
Dans le contexte de crise du secteur agricole, la valorisation des biodéchets en biogaz pourrait représenter un relais de croissance précieux au service des agriculteurs, de la transition énergétique et de l’environnement.
