C’est l’accessoire qui pourrait se révéler indispensable pour les adeptes de la marque coréenne. Samsung a lancé la Watch S2. Avec un design de montre à quartz, l’appareil est un véritable concentré de technologies qui facilite l’usage de la montre et compense la taille imposante des appareils actuels.

Il arrive qu’on nous propose «un pack». Cette fois-ci, c’était pour tester la Samsung Watch S2. Elle a transité de main en main, comme une bonne grippe un matin d’hiver trop chaud et qui entrave les bronches d’un fumeur pathologique. Pour ce faire, nous l’avons démonté, piraté son système d’exploitation, pour retourner contre eux les logiciels de programmation mentale des «illuminatis» buveurs de sang, venus de l’espace (humour).
Plus concrètement, elle se présente sous une forme de montre classique à quartz (que les gens de moins de 30 ans ne peuvent connaître) ronde à bracelet en cuir. La promesse? Un véritable organisateur au poignet, qui permet de gérer son téléphone à la manière d’une télécommande, et qui propose des services d’informations (CNN, Sport, etc…) et en même temps, permet de vérifier ses messageries et y répondre rapidement (oui, non, merci…). Les faits? On a affaire à un appareil suffisamment intéressant, pour faciliter réellement la vie, sans tomber dans le «gadget». Reste qu’au terme des différents tests, s’il est facile d’initialiser la machine, les usages dans le contexte restent assez limités.
Globalement, c’est un appareil réellement utile pour répondre au téléphone au volant (avec un kit mains libres, bien entendu). Répondre à un message au cours d’une réunion, sans passer pour un goujat, et en même temps, être assez réactif pour impressionner son patron.
Problème? Réellement, le côté mesure du pouls en permanence. Nos données sont régulièrement mesurées, sans notre consentement. D’un côté, c’est un véritable surveillant pour un cardiaque. Un sédentaire sera naturellement encouragé à bouger plus, mais pour ce qui est d’un jeune homme dans la force de l’âge… Dire que votre pouls n’est pas conforme à la moyenne des Américains révèle autant sur vous que le premier amendement sur le droit de la presse marocaine…
Au final, l’appareil reste un objet connecté intéressant, dont on regrette un peu le manque de connectivité, avec un réel intérêt pratique.