créanciers
Samir. La reprise d’activité exclue, voici pourquoi
L’endettement de la raffinerie est évalué à 40 milliards de dirhams.
Naufrage de la Samir : Y a-t-il enfin une solution ?
Fin du dernier épisode. Le feuilleton de la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (Samir) devrait connaitre son épilogue le 21 juillet prochain. En effet, d’ici là, l’unique raffinerie du Royaume devra avoir trouvé un repreneur, faute de quoi ses différents actifs seront vendus séparément. Si l’arrivée d’un repreneur
Me Kamal Nasrollah : « Tout s’est passé comme si certaines parties avaient un intérêt à ce que La Samir ne redémarre pas «
Avec plus de 43 milliards de DH de dettes, La Samir, mise en liquidation définitive, risque d’être la plus grosse faillite de l’histoire économique du Maroc. Au grand dam des actionnaires minoritaires, notamment les compagnies d’assurance Atlanta et Sanad, la Caisse marocaine de retraite, et des fonds d’investissements gérés par
Hicham El Moussaoui : « Aucun repreneur rationnel n’accepterait de racheter la Samir »
La saga malheureuse de la Samir devrait connaître son épilogue le 21 juillet prochain, à moins que le Tribunal prolonge encore le délai de continuité de l’activité pour la 13ème fois depuis le 21 mars 2016. Et d’ici là, l’unique raffineur du Royaume, qui a été mis en liquidation définitive,