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Automobile et aéronautique. 100 000 ingénieurs, cadres moyens et techniciens supérieurs marocains à former d’ici 2025
Le Maroc a besoin d’ingénieurs, de cadres moyens et de techniciens supérieurs pour prendre le train de l’aéronautique et l’automobile. Face à l’urgence, non seulement les programmes de formation pour les cycles ingénieurs et techniciens seront révisés à travers l’intégration progressive de modules de formation sur les soft skills, la
BAM. Le taux directeur est maintenu à 1,5%
Lors de sa dernière réunion trimestrielle, le 21 décembre, le Conseil de Bank Al-Maghrib a analysé l’évolution de la conjoncture nationale et internationale ainsi que les projections macroéconomiques de la Banque à moyen terme et a décidé de maintenir inchangé le taux directeur à 1,5%. A la veille de la
Orange Money Maroc creuse ses pertes
Deux ans après avoir obtenu son agrément de Bank Al Maghrib d’opérateur de paiement, Orange Money Maroc creuse ses déficits. En effet, la filiale du groupe Orange qui se spécialise dans le paiement mobile et l’inclusion financière depuis son lancement en 2019, vient d’essuyer un déficit de près de 8
Liquidité bancaire. Le déficit se creuse
Le déficit de la liquidité bancaire s’est creusé durant la semaine précédente de 9%, comparativement à son niveau, une semaine auparavant, selon BMCE Capital Global Research (BKGR). Face à cette situation, la Banque Centrale a augmenté de 21% à 36,92 milliards de DH ses avances à 7 jours au moment
Tayeb Hamdi :« nous avons tous les ingrédients pour que le déficit en médecins se creuse davantage si rien n’est fait»
Déficit énorme en médecins, émigration des médecins, remèdes pour pallier le manque de toubibs… Le médecin et chercheur en politiques et systèmes de santé passe au scanner le capital humain du système marocain de santé. Challenge : Le système national de santé souffre d’un manque cruel en ressources humaines. Comment
Récession : le HCP prévient de l’atterrissage brutal en 2020
Dans son dernier rapport établi avec l’appui du PNUD et de la Banque Mondiale (BM), le Haut-Commissariat au Plan (HCP) annonce une baisse de 5,8% du PIB, en 2020. Déjà, au premier trimestre, la croissance économique a été inférieure à 0,1%. Cette faiblesse est due principalement à une chute de
Le déficit budgétaire continue de se creuser
L’Economiste s’intéresse dans son édition de ce vendredi 14 février au déficit budgétaire. C’est sur une note plutôt négative que démarre l’année : le déficit budgétaire à fin janvier s’établit à 1,5 milliard de DH contre 138 millions de DH un an auparavant. Le premier mois de l’année est marqué
Les chiffres de l’ACAPS sont inquiétants
Exception faite du régime de la CIMR, tous les autres régimes ne sont pas rassurants. Les chiffres du régulateur du secteur des assurances et de la prévoyance sociale, laissent conclure que leur viabilité est en péril. C’est ce qui plaide pour une réforme profonde de l’ensemble des régimes en vue
Le suisse Clariant met fin à plusieurs décennies de présence industrielle au Maroc
Quelques mois après avoir totalement soldé son activité industrielle au Maroc, le géant suisse Clariant met la main à la poche pour apurer les comptes de sa filiale marocaine lourdement déficitaire. Le chimiste basé à Muttenz près de Bâle, vient d’injecter quelque 60,4 millions de dirhams dans Clariant Maroc afin
ONEE : de nouveau dans le rouge !
L’Office national de l’Electricité et de l’Eau potable (ONEE) présente une fois de plus une situation financière fragile. Preuve en est le résultat déficitaire prévu de 1,11 milliard de DH après un bénéfice de 1,9 milliard de DH en 2018, indique L’Economiste dans son édition de ce mercredi 13 novembre.
Maroc : le FMI prévoit une croissance de 2,8% en 2019
Le Fonds Monétaire international (FMI) impute cette baisse du taux de croissance à une contraction de la production agricole et d’une reprise modérée de l’activité hors agriculture. La croissance économique du Maroc devrait atteindre 2,8% en 2019, a indiqué, jeudi à Rabat, Nicolas Blancher, le Chef de l’équipe du Fonds
Habitat : Un réalisme payant !
Face à l’aggravation du déficit en logement, les directives Royalesont placé l’habitat social parmi les priorités nationales. Une vision payante. Depuis 2001 les politiques successives mises en place en matière d’habitat ont contribué à réduire significativement le déficit. L’accélération de l’urbanisation non maîtrisée, résultat de l’accroissement démographique et de l’exode