Infantino
Africa made in FIFA
De Skhirat 2017 à la Maâmora de Rabat en cet hiver 2020, le Président de la FIFA, signor Infantino, n’a pas pris une ride, ni un cheveu, sur son magnifique crâne lustré, mais il a pris de la bouteille. Il est devenu plus confiant, plus sûr de lui, au point
L’écume des choses
« Damned ! » (*) Quoique vous fassiez dans la vie, il s’en trouvera toujours ceux qui apprécieront et d’autres qui critiqueront. Sans compter ceux (ou celles) qui sont contre tout, soit par tempérament, soit par orgueil démesuré car ils (ou elles) se persuadent qu’ils détiennent la Vérité. Il y
Lekjaa, blessé, mais pas abattu
On nous dit que l’homme est sensible et que les critiques lui font mal. C’est plutôt difficile pour un homme appelé à s’exposer au jugement public et qui, ces derniers jours, en aura entendu des vertes et des pas mûres. Pourtant, Fouzi Lekjaa, c’est de lui qu’il s’agit, aurait dû
Le Qatar… malgré tout
Fini les quolibets Bien sûr, et comme d’habitude, la presse occidentale (française en particulier) n’a pu s’empêcher de se livrer à son jeu de fléchettes favori : à savoir épingler les personnes, les régimes et même les pays au gré de leurs préjugés. Ainsi que n’a-t-on pas lu sur le Qatar,
La France : Intolérance ou arrogance…
Mais c’est quoi tous ces procès que l’Hexagone se permet d’instruire ? Feu sur le Qatar et le Sénégal On pourrait citer moult procès et mises en accusation que les tribunaux français se permettent au nom de la lutte contre la corruption, le dopage et le blanchiment en tirant sur
Coupes africaines des clubs et FRMF : l’honneur est sauf !
Est-on vraiment les plus forts ? C’est rentré dans nos habitudes, on peut dire que c’est même dans l’ADN de chaque Marocain. Sans exagérer, on certifie ici qu’au Maroc, dans notre cher pays, tous les citoyens (et citoyennes) ont la nette impression qu’ils vivent dans le pays du football. Ne
FIFA à Marrakech : Infantino, au-delà des mots
Ce n’est pas un président de la FIFA que vous pouvez convaincre de sa puissance. Si on osait un blasphème ou un parjure, on pourrait écrire « toute puissance », tant le pouvoir de celui qui dirige le football apparaît sans limites. Il est courtisé, choyé dans ses déplacements. Ses