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Ahmed Boukous appelle à intégrer l’amazigh dans tous les domaines
L’entrée en vigueur de la loi organique 26-16 relative à la mise en œuvre du caractère officiel de l’amazigh, en septembre 2019, témoigne de la « volonté politique » du Maroc de promouvoir cette langue et ses affluents culturels, a indiqué le recteur de l’Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed
La diplomatie chinoise innove
Après une année de coopération fructueuse et très diversifiée avec le Royaume du Maroc, l’Ambassade de la République Populaire de Chine entame une évaluation, de manière participative, en invitant l’ensemble des participants aux séminaires organisés dans l’Empire du Milieu, au cours de l’année 2019. Au nouveau Centre culturel de la
Leïla Mezian Benjelloun encourage l’enseignement du mandarin au Maroc
Une convention de partenariat a été signée, mardi, entre la Fondation BMCE Bank pour l’Éducation et l’Environnement et l’Institut Confucius de Tanger-Université Abdelmalek Essaâdi, visant à enseigner le mandarin aux élèves d’une école de la région de Tanger. Ce nouveau partenariat, signé par la présidente de la Fondation, Leïla Mezian
Bots Factory conçoit des Chatbots dédiés aux clients des entreprises
Pour assurer des services de relations clients de qualité, la start-up marocaine Bots Factory propose une solution innovante, concevoir des Chatbots en langues française, anglaise, voire en darija. Le concept initial Démocratiser l’usage des services technologiques pour tout le monde, en utilisant l’intelligence artificielle conversationnelle pour comprendre l’intention du
Maroc : Shakespeare bouscule Molière
L’anglais promet plus d’ouverture et de meilleures perspectives sur le plan professionnel en plus de faire tendance pour ses « speakers ». La sociolinguiste Karima Ziamari explique cet engouement pour l’anglais dans un entretien accordé au site LeMonde.fr. La communauté des anglophones se fait de plus en plus large face au français
Arabisation : Benkirane fragilise El Otmani
Abdelilah Benkirane, l’ancien chef du gouvernement s’est une nouvelle fois exprimé sur l’enseignement des matières scientifiques en langue étrangère. Auparavant, il avait appelé son parti à en faire une question de principe quitte à abandonner le gouvernement. Cette position proche du parti de l’Istiqlal avait déjà bloqué le débat parlementaire.
Langue d’enseignement : L’emploi a tranché
Cela fait aujourd’hui, près de 30 ans que le Maroc a adopté la langue arabe dans l’enseignement des matières scientifiques depuis le primaire jusqu’au baccalauréat. Un état de fait qui a créé une véritable fracture linguistique entre l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur où ces matières sont étudiées en français. Résultat
Arabisation : histoire d’un ratage
Au-delà des préjugés idéologiques, l’arabisation mal préparée a été pour beaucoup dans le délitement de l’éducation nationale. Jusqu’au début des années 70, au secondaire, les matières scientifiques et histoire géo étaient enseignées en Français. Le Maroc avait des accords de coopération avec les pays francophones qui nous fournissaient des enseignants.
L’idéologie contre une éducation performante
Le blocage sur la langue d’enseignement des matières scientifiques est purement idéologique. L’avenir de notre jeunesse mérite mieux. Le vote de la réforme de l’éducation paraissait acquis puisque les chefs des groupes parlementaires avaient trouvé un consensus. Mais c’était sans compter l’ancien Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane. Celui-ci a fait
Saïd Amzazi : « Enseigner les matières scientifiques en langues étrangères est un impératif de justice sociale »
Cela fait près de 30 ans que le Maroc a adopté la langue arabe dans l’enseignement des matières scientifiques depuis le primaire jusqu’au baccalauréat. Un état de fait qui a créé une véritable fracture linguistique entre l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur où ces matières sont étudiées en français. Résultat :