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Fogarim et Fogaloge sur leurs lancées
Selon la Direction du Trésor et des Finances Extérieures (DTFE), ce sont plus de 106 000 prêts qui ont été accordés dans le cadre de ces deux mécanismes de garantie à fin juin 2013, pour un encours global de près de 18,2 milliards de dirhams, en hausse de 1,6% par
L’allemand Schlemmer double sa capacité à Tanger
Spécialisé dans la production et la vente de systèmes de protection de câbles pour applications automobiles, Schlemmer Maroc a doublé de taille suite à l’extension de son usine de Tanger, créée en 2005, pour y implanter une activité de plasturgie, nous apprend Usine Nouvelle. La filiale de l’allemand Schlemmer a
Croissance de 5,7% du trafic à fin mai 2013
Dans le sillage du retour des low-cost et du renforcement de nombreuses dessertes, les aéroports du Maroc ont enregistré à fin mai dernier une hausse de 5,7% du nombre de passagers transportés par rapport à la même période de l’année précédente, a détaillé hier l’ONDA. Au total, ce nombre a
ADM annonce un rebond du trafic autoroutier…
A l’échelle de tout le réseau autoroutier national, la circulation moyenne journalière pendant l’année 2012 s’est établie à 16,3 millions véhicules kilomètres par jour, enregistrant ainsi une hausse de 4,78% par rapport à l’année 2011, précise ADM dans son rapport d’activité pour l’année 2012. Parallèlement, les recettes de péage sont
Le feuilleton du Ramadan
Par la malice du hasard, chaque Ramadan nous offre un feuilleton dans l’actualité, soit judiciaire, soit politique et ce depuis longtemps, tellement régulièrement que les tenants de la thèse du complot permanent, ont décidé que c’était voulu. C’est l’implosion, cette fois effective, de la majorité qui en constitue l’affiche. Le
Pas de bonbonnes de gaz durant le Ramadan ?
Les distributeurs montent au créneau . La stagnation de leur marge met en péril 70% des entreprises du secteur. Les distributeurs de bonbonnes de gaz haussent le ton. Ils menacent d’arrêter leur distribution durant le mois sacré de Ramadan. Leur objectif est de provoquer une réelle crise sociale pour mettre de
Economie : « L’avantage coût de la main-d’œuvre ne peut pas être éternel »
Challenge. Pourquoi a-t-il été si difficile de construire de véritables filières intégrées? Par exemple, pourquoi au moment où le textile était une force d’exportation n’a-t-il pas été possible d’attirer des investissements dans l’amont de la filière afin de maîtriser les avantages concurrentiels ?Meissa Tall. Le Maroc a manqué et continue
Les exemples coréen et turc
La Corée n’a pas plus de ressources naturelles que le Maroc et en plus est très éloignée de ses marchés d’exportation, pourtant elle figure parmi les dix premières puissances économiques mondiales. La Turquie est passée en l’espace d’une dizaine d’années d’un stade de pays économiquement sinistré au stade de 15ème
Economie : « Nous ne prenons pas suffisamment de risque »
Selon le professeur El Malki, l’ambition marocaine au développement s’est heurtée à des rivalités politiques peu productives dans les premières années de l’indépendance. Aujourd’hui encore, l’économie nationale fait face à des maux comme la faillite du système de formation, l’absence de prise de risque, le maintien d’une économie de rente
Faiblesses de l’économie nationale : les raisons du mal
Entre 2000 et 2013, le Maroc a perdu près de la moitié de ses parts de marché à l’international qui sont passées de 0,10% à 0,15%. Le pays continue d’exporter des produits à faible valeur ajoutée. L’investissement est orienté dans l’immobilier et le BTP. L’industrie continue d’être le parent pauvre
Vers un nouveau cadre d’activité pour les écoles américaines
Selon Les Inspirations Eco, un nouveau projet de loi pour la mise en œuvre du nouveau régime des écoles américaines au Maroc, comme convenu entre le Maroc et les États-Unis en février 2013, a été mis sur le circuit de l’adoption. Ce texte prévoit l’éventualité d’un élargissement du réseau des
La filière de la canne à sucre subventionnée
Pour pallier à la forte désaffection de la filière de la canne à sucre et redresser le taux de couverture des besoins nationaux à partir des plantes sucrières locales, l’État accordera dès l’automne prochain une aide financière, sous forme de subvention et à raison de 6 000 dirhams par hectare,