Office des changes
Change : une circulaire… anticonstitutionnelle
La dernière circulaire de l’Office des changes au sujet de la dotation touristique est un message rassurant sur la maîtrise de la marche vers la libéralisation des changes. Il y a 30 ans, tout marocain désirant voyager à l’étranger devait enfreindre la loi, puisque la dotation n’était que de 100
IDE : une hausse de plus de 8 milliards de DH
Le flux des Investissements directs étrangers (IDE) au Maroc a enregistré un accroissement de 36,7% à fin novembre 2018, passant à 31,82 milliards de DH contre 23,28 milliards de DH un an auparavant, selon l’Office des Changes. Bon cru pour les Investissements directs étrangers au Maroc. L’Office des Changes a
Aggravation du déficit commercial à 7,8%
Le déficit commercial s’est aggravé de 7,8% à 100,8 milliards de DH à fin juin 2018 contre 93,5 milliards de DH durant la même période un an auparavant, selon l’Office des changes. Cette aggravation est attribuable à une nette augmentation des importations (+21,6 milliards de DH), plus importante que celle
Recul de plus de 33% du flux des IDE
Les Investissements directs étrangers (IDE) ont enregistré un flux de plus de 10 milliards de DH à fin juin 2018, en repli de 33,1% par rapport à la même période un an auparavant, fait savoir l’Office des changes. Ce résultat s’explique par la baisse des recettes (-3,4 milliards de DH)
Il fait l’actu : Hassan Bouleknadel, DG de l’Office des Changes
Les échanges extérieurs du Maroc ont été marqués par une aggravation du déficit de la balance commerciale de 12% à plus de 66,1 milliards de DH à fin avril 2018 contre 59 milliards de DH durant la même période un an auparavant, annonce l’Office qu’il dirige. Les importations ont atteint
200 projets de construction en cours au Maroc
Le dernier rapport du réseau BNC/The Big 5 Construct North Africa 2018 révèle que la construction urbaine qui représente 55% de tous les projets de construction au Maroc, ainsi que les services publics et les projets de transport, qui à leur tour représentent plus de 40% des investissements totaux, sont
Casablanca Finance City renforce son offre Doing business
Saïd Ibrahimi, CEO de Casablanca Finance City Authority a procédé mercredi 14 février 2018 à la signature de deux conventions de partenariat avec l’Office des Changes et la Commune de Casablanca, en présence de Hassan Boulaknadal, directeur général de l’Office des Changes et Abdelaaziz El Omari, maire de Casablanca. Ces
Rétrospective 2017 : les moments forts de février
Challenge.ma a sélectionné les événements qui ont fait l’actualité en 2017. Retour en textes, images et graphes sur les événements les plus marquants de février 2017. Coopération Sud-Sud : Le Maroc partage son savoir-faire urbanistique En visite au Soudan du Sud, le roi Mohammed VI et le président de la République soudanaise, Salva Kiir
Nouveau régime de change : tout ce que vous devez savoir
C’est le sujet qui fait le plus couler d’encre depuis quelques jours. En effet, le nouveau régime de change est entré en vigueur depuis le 15 janvier 2018. Fakir El Mehdi, expert-comptable et directeur associé chez AdValue & Consulting Group, nous détaille les méandres de cette réforme. Quelles sont vos
« Une meilleure taxation des GAFA peut générer des milliards de DH au fisc marocain »
L’Office des Changes veut s’assurer de la conformité à la loi des différentes opérations menées par les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) au Maroc. Aussi, la Direction générale des impôts aurait constitué un groupe de travail sur cette question. Comment le Maroc pourrait-il faire payer à ces géants du
Le bitcoin fait face à un arrêté insolite !
Le 23 octobre 2017, l’Administration des Douanes et Impôts Indirects (ADII) a adressé un courrier à l’Office des Changes, l’informant que les services douaniers de Nouasser lui ont fait part de l’importation d’appareils dénommés « bitcoin miner » destinés à être utilisés pour la réalisation d’opérations en devises virtuelles. Demandant l’avis
Le bitcoin ne passe pas au Maroc
Après l’Office des Changes, c’est au tour du ministère de l’Économie et des Finances, Bank Al-Maghrib et l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) de mettre en garde contre l’utilisation du bitcoin comme moyen de paiement. Ces annonces sont de nature à semer la confusion dans l’esprit du public, en