pegasus
Maroc-France. Les dessous du refroidissement des relations
Le Monde a consacré dans son édition du 18 novembre une enquête sur le vent glacial qui souffle sur la relation entre Paris et Rabat dont le « partenariat d’exception », célébré dans les discours officiels est fragilisé par une montée de crispations : restrictions des visas, Sahara, pari algérien d’Emmanuel Macron. Dans
Pegasus. L’avocat du Maroc confirme l’incapacité de Forbidden Stories et d’Amnesty à produire des preuves [Vidéo]
A la suite des nombreuses allégations et accusations à l’encontre du Royaume du Maroc dans l’affaire Pegasus, le Maroc avait décidé de poursuivre les différentes parties l’accusant en Justice. Aujourd’hui, et après le délai fixé de 10 jours, Forbidden Stories et Amnesty International ont failli à apporter des preuves. Après
Chakib Benmoussa redonne espoir !
A vrai dire, les 22 dernières années au Maroc ont été très mouvementées en transition, en événements, en projets mais surtout en ambition. Les défis à relever, hérités du règne de feu Hassan II, n’ont pas manqué au nouveau règne de S.M le Roi Mohamed VI. Parmi les dernières mesures
Affaire Pegasus. Le Maroc saisit un expert de l’analyse numérique
Dans le cadre de l’affaire Pegasus, le Maroc a fait appel aux services d’un expert informatique, l’objectif consistant à faire toute la lumière sur les accusations d’espionnage dont il fait l’objet. Un spécialiste qui s’est déjà pleinement plongé dans le dossier et qui a mis d’emblée en exergue l’absence de
Pegasus, médiatus, propagus
La question que l’on pourrait légitimement nous poser en tant que citoyens marocains, c’est celle de savoir qui se cacherait réellement derrière cette piteuse affaire de Pegasus belli. Car au vu de l’assaut médiatique qui s’est déclenché cette dernière semaine contre le Maroc, on se demanderait logiquement pourquoi autant de
Pegasus et les élucubrations de Khabir l’espion [Par Adil Mesbahi]
Au croisement de la réalité et de la fiction, l’écrivain Adil Mesbahi tente de se frayer un chemin, à la recherche d’une vérité que nous saurons probablement jamais. Une affaire étatique d’un côté et un espion fictif de l’autre, pour un exercice léger qui sort des sentiers battus. Acte 1 :
Pegasus. La cabale finit dans le ridicule
En cinq jours, il y a eu 28000 écrits sur internet concernant le Maroc et la pseudo-affaire dite Pegasus. Mais, le soufflet est retombé. Pourquoi ? Parce que trop de trous sont apparus dans la raquette. Le Maroc a porté l’affaire devant la Justice française, contre Amnesty International et Forbidden Stories.
Chakib Benmoussa : « Mon pays n’a pas espionné le président Emmanuel Macron »
Dans un entretien exclusif au Journal du Dimanche (JDD), l’ambassadeur du Maroc en France, Chakib Benmoussa, a démenti l’acquisition par le Maroc du système Pegasus et assure d’une manière catégorique que le « Maroc n’a pas espionné le président Emmanuel Macron ». Pour Benmoussa, « il existe des réseaux hostiles au Maroc
Shalev Hulio, CEO de NSO Group : «Le Roi du Maroc et le président français n’ont jamais été une cible de Pegasus»
Le patron de NSO Group a accordé à israelhayom.com une longue interview dans laquelle il revient sur l’affaire Pegasus. Israel Hayom : Si votre système n’a pas été utilisé à des fins malveillantes, comme vous le prétendez, pourquoi ne pas tout ouvrir et montrer à tout le monde que tout
Pegasus, une autre réplique au séisme de l’accord Maroc-USA-Israël
Après l’affaire Benbattouch et l’appel Allemand à une réunion du conseil de sécurité contre la position américaine sur le Sahara marocain, voici une autre affaire qui vient de faire surface : Pegasus. Car après un bal masqué français qui n’a que trop duré, il fallait bien s’attendre à ce que
Olivier Baratelli, Avocat du Maroc : « La société NSO n’a jamais eu de lien contractuel avec le Maroc »
Face aux allégations du consortium Forbidden Stories et d’Amnesty International dans l’affaire Pegasus, l’avocat du Maroc, Me Olivier Baratelli, réagit. Il a ainsi fait remarquer, lors d’une récente sortie médiatique, que les accusations portées à l’encontre du royaume, et relayées par de nombreux médias internationaux, sont sans fondement. Intervenant sur
Nasser Bourita : « Le Maroc met au défi Forbidden Stories et Amnesty International de produire la moindre preuve »
Le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s’exprime sur l’affaire Pegasus, qui fait suite aux multiples révélations des médias étrangers ayant participé à l’enquête Forbidden Stories, en partenariat avec Amnesty International. Des révélations jugées calomnieuses par le gouvernement marocain, qui a déjà ouvert une enquête judiciaire contre ses auteurs. Voici