post covid-19
Comme si de rien n’était
Le monde a vécu au cours des deux dernières années une crise sanitaire inédite. Celle-ci a eu des impacts multiples, dans presque tous les domaines. Et pourtant, aujourd’hui, le monde ne semble guère avoir tiré des leçons. Les avions, à nouveau, sillonnent le ciel. Les activités économiques reprennent. Les chaines
La 27ème édition du Forum EMI-Entreprises se tiendra du 26 au 28 mai
Le Forum EMI-Entreprises, premier salon de type école-entreprises au Maroc se déroulera les 26,27 et 28 Mai 2021 sous le thème « La relance de l’Economie Marocaine Post-Covid-19 ». Le comité du Forum EMI-Entreprises a réussi à maintenir son forum en le digitalisant et en rallongeant sa durée. Cet événement à
Brouille maroco-allemande : la ligne de relance Post-Covid-19 de la KFW sera-elle compromise?
Alors que la polémique enfle quant à l’appel d’offres récemment lancé par la section marocaine de l’Agence allemande de coopération internationale (Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit communément appelée la GIZ) et sa régularité, et que la brouille entre Berlin et Rabat bat son plein, un autre sujet de coopération bilatérale fait
Maroc : il faut changer de logiciel
La sortie du confinement devait être progressive, mais par manque de préparation, elle est chaotique et porte les germes d’un drame sanitaire. Le gouvernement a fait faillite sur le plan de la communication, mais aussi sur la concertation. Il n’y a pas une seule profession qui se dit prête à
Ahmed Akhchichine : « Dans cette crise, les régions ont pris l’option d’aller là où l’Etat ne peut pas aller en termes d’intervention »
En dehors de sa contribution de 1,5 milliard de DH mobilisé pour le Fonds spécial Covid-19, les Régions entrevoient d’appuyer les entreprises dans leur relance. Des annonces sont attendues dans ce sens, après l’adoption du projet la loi de finances rectificative 2020. Les éclairages d’Ahmed Akhchichine, président de la région
Le Maroc à l’heure d’une nouvelle phase de déconfinement de tous les dangers
A peine l’horloge a commencé à égrener les premières heures du 25 juin 2020 que des centaines de casablancais déboulaient déjà sur la corniche d’Ain Diab (interdite d’accès jusqu’alors) pour savourer l’entrée de leur ville en Zone 1 dans la nouvelle cartographie du Maroc selon l’Etat d’urgence sanitaire. La même
Comité de veille économique: une concertation qui gagnerait à être élargie
Voilà une structure créée de toute urgence et logée au sein du ministère de l’Economie, des finances et de la réforme de l’administration (MEFRA), c’est-à-dire au cœur du « système sanguin » de l’Etat. A-t-elle été suffisamment à l’écoute de l’environnement national et international pour préparer l’Etat à des réponses
Uri Dadush : « la substitution des importations est une entreprise risquée »
La substitution à l’importation permet aux pays qui y recourent de produire eux-mêmes ce qu’ils importent. L’idée pour les pays voulant s’industrialiser, est que leur économie est dépendante des importations des produits manufacturés provenant de l’étranger. Il leur faut donc substituer à ces importations une production nationale, et gagner ainsi
Covid-19 : comment Atlas Hospitality se mobilise pour gagner la bataille sanitaire
Le déconfinement se prépare activement dans l’hôtellerie marocaine, frappée de plein fouet par la pandémie de Covid-19. Atlas Hospitality Morocco, a misé gros pour gagner la bataille sanitaire comme d’être prêt à rouvrir en juillet si la sortie de crise se confirme bien. L’heure est aux répétitions dans les hôtels
QAPIMAR : un autre équipementier automobile en difficulté
Le français QAPI Group, vole au secours de sa filiale marocaine alors que la crise du Covid-19 en assombrit l’horizon. En effet, ce groupe spécialisé dans le développement, l’industrialisation, la production et l’assemblage de pièces plastiques avec solutions de traitements de surface (peinture, tampographie…) vient d’injecter pas moins de 15
Voici comment le Maroc peut accélérer la montée en gamme de ses industries
La baisse des activités des grandes entreprises en Europe a lancé le débat de la relocalisation. Certains pays ont déclaré leur volonté de rapatrier une grande partie de leurs activités vers leur pays d’origine, notamment dans des secteurs stratégiques pour le Maroc comme l’automobile ou encore l’aéronautique. Quelles conséquences pour
Maroc : croire en l’avenir
Evidemment que la situation économique est catastrophique et que cela va durer un certain temps. Bien sûr que les problèmes sociaux sont exacerbés et que leur résolution n’est pas d’une simplicité limpide. Mais à peuple vaillant rien n’est impossible. Si nous nous appuyons sur nos valeurs, nous sortirons plus forts