USFP
6 partis formeront le gouvernement
Le prochain gouvernement comprendra, outre le Parti de la Justice et du Développement (PJD), le Rassemblement National des Indépendants (RNI), l’Union constitutionnelle (UC), le Mouvement populaire (MP), l’Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) et le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS), a indiqué, samedi 25 mars 2017 soir, le Chef
Formation du gouvernement : El Othmani ouvre le bal des négociations
Le Chef du Gouvernement désigné, Saâdeddine El Othmani, a reçu ce mardi 21 mars 2017 au siège du Parti Justice et Développement (PJD) à Rabat, les représentants du Parti de l’Istiqlal. Accompagné des membres du secrétariat général, Mustapha El Khalfi, El Mostafa Ramid, Mohamed Yatim et Lahcen Daoudi, Saâdeddine El
M’hamed Boucetta n’est plus
Né à Marrakech en 1925, le défunt a occupé entre 1965-1967 et 1967-1969 la fonction de bâtonnier. Suite à la mort de Allal El Fassi, il a été nommé Secrétaire général de l’Istiqlal, poste qu’il occupa de 1974 à 1998. M’hamed Boucetta a été plusieurs fois ministre. Parmi les portefeuilles dont il
Parlement : plusieurs anciens ministres dans les instances
La Chambre des Représentants a élu, hier mardi 17 janvier 2017, lors d’une séance plénière présidée par Habib El Malki (USFP), président de la Chambre, les membres de son Bureau et les présidents des Commissions permanentes. Plusieurs ex-ministres y sont présents. A commencer par Lahchen Daoudi du Parti de la
USFP : la grande confusion
Nos confrères font état d’une volonté de Driss Lachgar, d’enlever la présidence du groupe parlementaire à Ahmed Zaïdi, c’est totalement faux. En fait, le nouveau premier secrétaire de l’USFP est sous pression. La Commission administrative, Parlement du parti, lui a adressé un mémorandum où elle considère que la présidence du
La crise rattrape le gouvernement
L’opposition qui manifeste, la majorité qui se fissure gravement, les questions économiques qui prennent le pas, le gouvernement ne peut plus faire dans l’attentisme. Nizar Baraka, ministre des Finances a mis les chefs des partis de la majorité devant leurs responsabilités lors de la dernière réunion. En résumé, il leur
L’Union de la gauche ou l’inaccessible rêve
Face à la déferlante conservatrice, tous les courants de gauche appellent à l’union, mais dans un désordre qui la renvoie aux calendes Grecques. «La Fédération pour un grand parti socialiste », c’est le nom choisi par des dirigeants des partis à gauche de l’USFP pour une énième tentative de rassemblement. Elle
Driss Lachguar déroule
Son objectif est clair : créer un front moderniste capable de s’opposer à la déferlante conservatrice. Driss Lachgar s’y emploie dans des conditions difficiles. Le nouveau premier secrétaire de l’USFP est chahuté. Zaïdi et ses amis continuent à contester son élection et la manière dont le neuvième congrès s’est déroulé. Pourtant, lui que l’on dit sanguin, refuse de répondre, d’entretenir une polémique, même si les médias
Les petits partis de gauche veulent s’unifier
Les petits partis d’extrême gauche (Annahj, Taliaâ et le PSU) ont préparé une plateforme qu’ils pensent être un projet pour «une fédération en vue de la constitution d’un grand parti socialiste». C’est la énième tentative, et encore une fois elle n’englobe pas l’USFP, qui malgré ses échecs électoraux, reste le bateau amiral de la gauche. La nouvelle direction du Tihad est en négociation avancée avec le
Chami décline la direction de l’AMDI
Depuis quelques semaines, le nom de l’exministre du Commerce et de l’industrie, Ahmed Réda Chami, circule comme prétendant au poste de directeur général de l’Agence Marocaine de Développement des Investissements (AMDI). Contacté par Challenge, ce dernier ne nie pas avoir été sollicité par l’actuel ministre de l’Industrie Abdelkader Aamara, il y a plusieurs mois. Une proposition qu’Ahmed Reda Chami nous a confirmée avoir décliné car il «préfère
Un stand-by trompeur
Le calme apparent de la vie politique cache mal les batailles à venir auxquelles se préparent les protagonistes. Il faut juste espérer que le niveau s’élève. Les déclarations du nouveau zaïm de l’Istiqlal ou le ventre nu de Radi, celui de l’UC, pas l’autre, ne font plus que sourire. Les pitreries des politiques ont épuisé leur