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Une campagne injuste

Anas Alami,
DG de la CDG.

Anas Alami, le directeur général de la Caisse de Dépôts et de Gestion (CDG) est l’objet d’une campagne insidieuse. Il a passé « l’oral » devant la représentation nationale de manière brillante. Il a explicité clairement la mission de service public de la CDG, qui n’empiète en rien sur les ratios de profitabilité. Grâce à sa gestion, des dossiers comme l’investissement dans le club Med, ont été apurés au moindre coût. Mais l’essentiel c’est que la CDG, se doit par sa vocation, d’accompagner les projets de l’Etat. Ce n’est pas un choix, c’est un devoir. Il le fait en respectant les intérêts de l’entreprise. Parce qu’il est peu bavard, qu’il ne recherche pas les sunlights, d’aucuns se sont permis d’alimenter une campagne faite d’insinuations et de rumeurs. La CDG n’est pas un fonds spéculatif. Pourtant, ses résultats sont parmi les meilleurs du marché, y compris au niveau de la profitabilité. Anas Alami, a largement participé au succès d’une banque d’affaires indépendante, il a réalisé le projet de Barid-Bank et réussi dans ses fonctions à la tête de la CDG, chiffres à l’appui. La campagne, pernicieuse et injuste, vise en fait le bras séculier de l’Etat dans la finance, la CDG. Qui y a intérêt ? Et pourquoi occulte-t-on les performances de l’entreprise ?

 
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