Vignettes : les élus casablancais réclament une part
Les voiries sont dans un état délabré à Casablanca et la population proteste. Du côté des arrondissements on rétorque qu’il n’y a pas de fonds, une idée-force a germé. C’est Casablanca qui concentre le parc automobile le plus important. Il serait normal qu’elle perçoive une partie des recettes de la vignette pour entretenir les routes utilisées par ces mêmes voitures. Ce débat devrait être relayé au Parlement et concernerait alors toutes les villes marocaines. La fiscalité locale est un vaste chantier nécessaire si on veut réussir la décentralisation.