Dossier
Les exclus des marchés publics? 4/4
Ce sont les entreprises internationales qui profitent le plus des marchés IT de l’Etat , suivies des filiales de multinationales installées au Maroc. Les structures marocaines, quant à elles, ne captent qu’une petite partie qui se limite souvent à des missions à faible valeur ajoutée sous-traitées par les grands adjudicataires. Alors est ce que l’activation
Industrie Le parent pauvre de la préférence nationale 3/4
Lamia Tazi, DG de Sothema affiche clairement sa déception face à la mise à l’écart des requêtes initiées par les industriels, les associations professionnelles comme la CGEM et l’Amip, et les institutions telles que le Conseil Economique et Social, en matière de préférence nationale. Pour elle, l’article 155 du
AZIZ RABBAH : « La préférence nationale est un choix stratégique » 2/4
Les entreprises marocaines se sont adjugées entre 47% et 97% des appels d’offres lancés par le département d’Aziz Rabbah en 2012. Challenge. Qu’est-ce qui a motivé votre décision d’appliquer la préférence nationale?Aziz Rabbah. Depuis le début de mon mandat, au département de l’Equipement et du Transport nous avons prospecté tous les moyens à même de renforcer la
Les illusions de la préférence nationale 1/4
Le projet de décret régissant les marchés publics est au centre du débat. Les professionnels marocains estiment que le texte est en deçà de leurs attentes et n’instaure pas une véritable préférence nationale qui permettrait aux entreprises locales de s’assurer une part de la commande publique. Analyse. « La montagne a accouché d’une souris». C’est
Bilan du Gouvernement : Les ministres qui se sont distingués… et les autres
L’exécutif d’Abdelilah Benkirane subit une opposition de principe, idéologique, qui prend souvent des allures démagogiques. C’est un fait. Mais il est tout aussi clair que le bilan, objectif, réel, est loin d’être satisfaisant. Il faut apprécier les résultats obtenus par rapport aux objectifs autoproclamés ou assignés par la conjoncture. Politiquement,
Ils ont fait 2012
L’année 2012 a été marquée par un contraste saisissant : une hypertrophie, du moins médiatique, de la vie politique et un attentisme angoissé, perceptible du monde économique. Elle se termine dans une ambiance où l’espoir, la sérénité des uns, s’opposent aux doutes, aux angoisses des autres. Pourtant, elle a été riche
Exportation: La panne marocaine 1/4
Les résultats de toutes les stratégies lancées pour donner un coup de fouet aux exportations marocaines restent faibles. Une véritable remise en cause est nécessaire pour remonter la pente. Les assises de l’export ont été l’occasion de ressasser les maux dont souffre l’export marocain de part et d’autre. Conclusion,
Mehdi Lahlou, Economiste: L’Echec des stratégies gouvernementales 4/4
L’aggravation du déficit commercial pousse Mehdi Lahlou,économiste, à conclure, à juste titre, à l’échec des politiques menées par le gouvernement pour remédier à la situation. Pour lui, il faut absolument faire jouer la diplomatie économique. En effet, cette dernière peut jouer le rôle d’éclaireur pour les hommes d’affaires marocains. Challenge.
Diversification des marchés: Des ALE à revoir ! 3/4
Profiter plus des accords de libre-échange tout en sauvegardant le secteur privé marocain, en référence aux lois et règles régissant le commerce, voilà le nouvel ordre du commerce extérieur marocain. Au fil des dernières décennies, le Maroc a signé à tour de bras des Accords de Libre- Echange (ALE). Aujourd’hui,
Produits à forte valeur ajoutée: Le Maroc a une place à prendre 2/4
Deux nouveaux métiers renforceront à partir de 2013, l’offre mondiale du Maroc : chimie et pharmacie et industries mécaniques et métallurgiques. Ceci prouve que le Maroc cherche tant bien que mal à rompre avec la vision du commerce extérieur axée sur des exportations de produits à faible valeur ajoutée. « Le ministère
Contrôle des produits de consommation: L’ONSSA sur tous les fronts (2/2)
En matière de contrôle, l’ONSSA est en première ligne. L’office vient de mettre en place des procédures de traçabilité et de réorganisation pour faciliter le contrôle dans plusieurs secteurs. Plusieurs projets sont dans le pipe. Devant la multitude d’organismes compétents, l’ONSSA a décidé de prendre les choses en main en
Contrôle des produits de consommation : quel gâchis ! (1/2)
1000, c’est le nombre moyen d’intoxications alimentaires enregistrées annuellement au Maroc (selon les publications du ministère de la Santé).Bien qu’il soit important, ce chiffre reste loin de la réalité. Le système de contrôle des produits de consommation est encore loin de remplir pleinement sa mission de protection du consommateur local.