Comarit
Transport maritime, un secteur qui traumatise les banquiers
Depuis que deux compagnies maritimes marocaines leur doivent plus de 2 milliards de DH, les banques ont tourné le dos au secteur. Pourtant, le business reste rentable. « Il y a 40 ans, j’étais directeur à BMCE Bank. A l’époque, j’avais financé toute la flotte de la Comanav. Mais, en 2008,
Le français CMA CGM s’apprête à pomper 228 millions de DH de Comanav
Alors que ses principaux concurrents au Maroc se rangent entre naufragés (à l’instar de la Comarit ou de IMTC) ou éclopés, la Comanav se permet le luxe de choyer son actionnaire français, le groupe CMA CGM, un des leaders mondiaux du transport maritime par conteneurs. En effet, l’ex-compagnie publique privatisée
Vers un dépôt de bilan de la Comarit ?
Mise sous redressement judiciaire par le Tribunal de commerce de Tanger le 21 février dernier, la Comarit disposait de quatre mois pour présenter un business plan viable qui la sauverait de la faillite. Le vendredi dernier était donc le dernier délai, mais en vain. Rien à signaler. Sans un «
Transport Maritime : le secteur traumatise les banquiers
Avec la vente aux enchères du Biladi intervenue ce lundi, les banquiers marocains voient s’envoler une garantie significative de leurs créances. Les compagnies maritimes leur doivent plus de 2 milliards de dirhams et le risque de faillite est on ne peut plus grand. C ette semaine, ce que redoutaient les banques