partis politiques
Maroc. Que faire ?
La classe politique a refusé de reporter les échéances électorales. Décision qui aurait servi l’intérêt national, en se concentrant sur la sortie de la crise sanitaire. L’opération vaccination se passe bien, mais le risque lié aux capacités de production des laboratoires demeure. Les chiffres de contamination sont supportables pour l’appareil
Maroc. Le débat utile
La campagne électorale a déjà commencé. La classe politique n’a plus que cette échéance comme objectif et c’est normal à quelques mois du scrutin. Dans toutes les démocraties, les structures partisanes ne se limitent pas aux deux semaines de la campagne officielle. Ce qui est important, ce sont les thèmes
Le virage antidémocratique
Tous les courants politiques existant au sein de la société, à part deux, ont accepté d’oublier la rupture et ont opté pour le principe de progressivité. Les deux courants refuznik sont le Nahj maoïste et la Jamaâ Islamiste. Ils existent, vivement sur les mécontentements, mais n’ont aucune utilité sociale autre
Non au nihilisme !
La vox populi, les positions des internautes, ne constituent pas pour moi une opinion taboue. Je n’ai jamais eu peur d’être minoritaire. C’est facile parce que je ne suis candidat à rien et que mon seul repère, c’est le service du bien commun partant de convictions profondes. L’antiparti est à
Arrêtez le massacre
Les Marocains sombrent dans l’angoisse. Les hôpitaux ont montré leurs limites, les queues pour les tests sont interminables, la situation économique est désastreuse et les perspectives ne sont pas meilleures. Et que font nos politiques ? Ils nous offrent un spectacle de derrière les fagots. Désormais, chaque ministre a sa propre
Politique : ils sont incorrigibles !
Alors que le pays est face à un défi historique, que la crise sanitaire est appelée à s’aggraver, que les déficits se creusent, que les faillites se multiplient, que le taux de chômage est à son zénith, les partis politiques refont leur numéro. Il n’y a pas un seul marocain
Maroc : la politique reprend ses droits
Le débat au parlement a été plus vif que lors des précédents passages du chef du gouvernement durant la crise du Covi-19. Les oppositions Istiqlal, PAM et PPS ont pointé les défaillances et surtout l’opacité de la gestion gouvernementale. Indépendamment du fond, il est heureux que cette séquence du consensus
Maroc : Vers un changement du mode électoral
Encore une fois, la société dépasse les partis politiques. Elle réclame un scrutin uninominal à deux tours pour permettre l’émergence d’une majorité inhérente. Abderrahmane Youssoufi, animé des meilleures intentions, a imposé contre l’avis de son ministre de l’Intérieur de l’époque Driss Jettou, le scrutin de liste. Il pensait que
La CSMD entame avec le PJD ses séances d’écoute
La Commission Spéciale sur le Modèle de Développement (CSMD) a entamé, jeudi à Rabat, ses séances d’écoute des partis politiques et des syndicats, par une réunion avec les représentants du Parti Justice et Développement (PJD). Le PJD est représenté lors de cette réunion par Slimane El-Amrani, Mohamed Touil, Mohamed Naji
Officiel. Gouvernement : les nouveaux entrants
Après une longue attente, la liste du nouveau gouvernement est enfin connue. Voici par ailleurs les noms qui font leur première entrée au gouvernement: Nezha Bouchareb, Ministre de l’Aménagement du Territoire, de l’Urbanisation, de l’Habitat et de la Politique de la ville. Elle occupait le poste de coordinatrice du Comité
Le crépuscule des partis politiques
Bagarres au Parlement et dans les réunions, communication dérisoire autour des sujets d’actualité, la classe politique est au fond du trou et… elle continue à creuser. L’auteur de ces lignes a toujours refusé de participer au lynchage des partis politiques. Mais la mission devient impossible parce que la classe
Vidéo. Sit-in de solidarité à Rabat en hommage aux victimes d’Imlil
Des acteurs civils et associatifs et des représentants d’ONG et de partis politiques ont pris part, samedi à Rabat, à un sit-in de solidarité avec les familles des victimes du crime ignoble qui a coûté la vie à deux ressortissantes scandinaves, une norvégienne et une danoise, à Imlil, dans la