politique
Il y a 60 ans… naissait l’UNFP
La mouvance Tihadie est sortie des entrailles de l’Istiqlal. Retour sur un événement qui a structuré la vie politique pendant 60 ans. Dès l’indépendance, le mouvement national se scindait en deux. D’un côté une orientation libérale, acceptant la suprématie du palais, de l’autre une orientation étatiste pour créer une économie nationale
2019 : les grands rendez-vous à surveiller !
L’année 2018 a été riche en événements économiques, politiques, culturels et sportifs. Depuis mardi 1er janvier, nous sommes en 2019 et l’année au Maroc débute très vite avec de grands rendez-vous d’actualité. De l’économie au sport en passant par la politique ou encore le social, Challenge vous présente quelques grands
Politique : Le chemin de la confiance
Les invectives au Parlement décrédibilisent la classe politique et nous éloignent encore plus de la nécessaire confiance. Traiter un membre du gouvernement de courtier à l’intérieur de l’enceinte du Parlement est un comportement indigne. Le drame c’est que le public ne retient que ses écarts de langage en l’absence de
Crise du PAM ou crise de la politique ?
Le PAM est traversé par une grave secousse. Mais celle-ci ne traduit-elle pas l’impasse de l’ensemble de la classe politique. Depuis le départ d’Ilyas El Omari, on savait que la lutte des clans couvait au PAM. Celle-ci s’est ouvertement déclarée la semaine dernière. Benchemmas et les siens ont émis des
Sahara : une « solution pacifique » est « possible »
« Une solution pacifique » au conflit du Sahara est « possible », a estimé jeudi l’envoyé spécial de l’ONU, à l’issue d’une table ronde de deux jours entre les parties à Genève, les premières discussions depuis 2012. Chargé du dossier depuis 2017, l’ex-président allemand Hörst Kohler a également annoncé qu’il entendait organiser une
La mauvaise gouvernance : frein au développement
Il est temps d’en convenir, il y a un vrai drame de la gouvernance, ce qui affaiblit l’efficience des politiques, entrave l’essor productif et in fine, empêche l’émergence. Le débat public est obstrué par les questions politiques, institutionnelles. Elles ont leur importance et elle est déterminante. Mais nous devons nous
Le roi rappelle à l’Algérie le sens de l’histoire
Le discours royal du 06 novembre a tranché avec la tradition. Le chef de l’État a mis de côté le conflit autour de l’intégrité territoriale, les derniers succès diplomatiques du Maroc pour concentrer son propos sur les relations entre les deux peuples. Le ton était fraternel, s’appuyant sur la communauté
SM le roi invite l’Algérie au dialogue direct
SM le roi Mohammed VI a adressé mardi un discours à la Nation à l’occasion 43-ème anniversaire de la Marche verte. Voici le texte intégral du discours royal :. « Louange à Dieu, Prière et salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons. Cher peuple,. L’approche qui est Nôtre, dans
43ème anniversaire de la marche verte : un message au frère algérien
La clarté et l’ambition ont toujours guidé, selon le souverain, la politique extérieure du Maroc et notamment à l’égard de ses amis et de ses frères. La réalité actuelle du Maghreb ne reflète pas les combats menés par la génération ayant milité pour la libération et l’indépendance. La solidarité inconditionnelle
Déconcentration, régionalisation, le débat biaisé
Le secrétariat général du gouvernement a publié un document dit du 15 octobre, sur la déconcentration. Les débats reprennent, parce qu’il ferait la part belle aux walis, représentants de l’exécutif central et même de ce que certains appellent l’État profond. Le choix de la régionalisation n’est nulle part unanime. C’est
La corde raide
La baisse du pouvoir d’achat est réelle. Les réactions populaires à chaque événement se font de plus en plus véhémentes. L’épisode du boycott, les manifestations contre la hausse des fournitures scolaires, les rumeurs sur les hausses à venir créent un climat malsain. Mais là, on est dans une séquence beaucoup
Quand Benkirane torpille «ses frères»
Le fond politique, lors de cette allocution, est clair. Benkirane estime, à raison, que les électeurs l’ont choisi pour un deuxième mandat et que le blocage était le fait des « ennemis du changement ». Ce qu’il ne cache plus c’est qu’il estime qu’en lui refusant un troisième mandat à