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Risma met en vente l’Ibis Palmeraie
Trois ans après avoir pris de court la communauté financière en se délestant d’un seul coup de trois hôtels Ibis, Risma, l’entité qui porte les actifs du groupe Accor au Maroc met en vente une autre unité hôtelière portant l’enseigne phare du portefeuille de marques économiques de son partenaire métier.
Agadir : des hôtels mis en vente et des fermetures «définitives»
Des manœuvres dans l’hôtellerie à Agadir ! Des groupes ont décidé de se délester de leurs murs ou d’alléger leur portefeuille. Paradoxalement, les cessions d’hôtels ne sont en rien liées à la crise sanitaire et économique. A Agadir comme dans d’autres villes touristiques du pays, l’hôtellerie a vu sa clientèle
Marc Thépot, une nouvelle vie
L’ancien patron d’Accor Maroc aura marqué durant une douzaine d’années l’industrie de l’hôtellerie et du Tourisme marocain. Elu le 15 janvier 2021 Président de l’Office de Tourisme et des Congrès de Marseille pour une durée de 6 ans, Marc Thépot ouvre une nouvelle page dans sa carrière professionnelle. Arrivé au
Nouvelles fusions au sein du Pôle Tourisme de la CDG
Le processus de restructuration des actifs hôteliers et touristiques du groupe CDG (Caisse de Dépôt et de Gestion) se poursuit. Après avoir liquidé les deux structures, Société Immobilière de la Mer (SIM) et Med Resort SA, dont les actifs hôteliers (respectivement les unités marocaines gérées par son partenaire français Club
Risma envisage une montée en puissance sur le milieu de gamme
Le premier opérateur touristique du Royaume entend élargir sa gamme d’offres, déjà bien fournie. Le groupe Risma envisage, en effet, de s’attaquer au milieu de gamme en vue de développer ce segment, qui demeure encore assez timoré dans son portefeuille d’actifs. L’idée globalement est de renforcer davantage la présence de
CDG : nouveau rapprochement au sein du pôle hôtelier
La Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) continue de mettre de l’ordre dans son portefeuille d’activités touristiques. Après avoir opéré, en fin 2017, le rapprochement entre sa filiale Société Immobilière de la Mer (SIM), qui détient les unités marocaines gérées par son partenaire français Club Med et Madaef, son
Le PDG de la station de Mogador jette l’éponge
Deux ans à peine après avoir été nommé à la tête de la Société d’aménagement d’Essaouira Mogador (SAEMOG), Omar Bennani jette l’éponge. En effet, celui qui avait succédé à Leila Haddaoui (ancienne DG du Groupe Pierre & Vacances Center Parcs qui y avait fait, lui aussi, un passage éphémère) vient
Résultats financiers : Risma maintient le cap
Risma a dégagé un chiffre d’affaires de 1,45 milliard de DH au terme de l’année 2017, soit une augmentation de 4% par rapport à 2016. Selon le top management, qui a présenté ses résultats financiers le 5 avril à Casablanca, cette progression a été possible grâce, en grande partie, à
La chaîne hôtelière Farah en vente
Près de trois décennies après s’être lancé dans le secteur touristique, Al Ajial Holding (ex-Consortium Maroco Koweitien du Développement) décide de mettre en vente l’intégralité de ses unités hôtelières. En effet, ce groupe diversifié contrôlé par le fonds souverain Kuwait Investment Authority et qui compte l’État marocain dans son tour
Les unités du Club Med au Maroc valorisées à 500 millions de DH
Cinq ans après avoir pris le contrôle à 100% du capital de la Société Immobilière de la Mer (SIM), Madaëf absorbe cette filiale qui détient les murs de toutes les unités hôtelières arborant l’enseigne Club Med au Maroc. En effet, ce fonds d’investissement créé à l’initiative de la CDG en
Un nouveau plan de sauvetage pour la station balnéaire Mogador
Treize ans après son lancement, la station balnéaire Mogador (située à quelques dizaines de kilomètres au sud de la ville d’Essaouira) est toujours au stade de mirage. En effet, des 9000 lits que l’aménageur développeur devait y réaliser en sept ans, seuls un peu plus de 400 ont effectivement vu
Risma fait le pari d’un développement moins capitalistique
Rationalisation, c’est le maître-mot de l’investisseur touristique. Risma s’oriente, en effet, vers un développement moins capitalistique à l’avenir, après avoir bataillé pour retrouver l’équilibre. « Mes prédécesseurs ont développé un réseau parce qu’il y avait une place à prendre. Et ils avaient raison parce qu’il y avait des places à