Ils font l'actu

Il fait l’actu : Othmane Serraj, président de l’Association Marocaine de la Relation Client

Il vient d’être élu président de l’Association Marocaine de la Relation Client (AMRC).

Cette élection intervient alors que l’Association avance vouloir face, de façon coordonnée, aux enjeux majeurs du secteur. Dans ce sens, elle s’est dotée d’un nouveau bureau constitué  de Philippe Broutin (Webhelp), vice-président, Olivier Blanchard (Acticall Sitel), vice-président,Youssef Chraibi (Outsourcia Group), secrétaire général, Didier Manzari (B2S), secrétaire général adjoint et Ahmed Belahsen (MCC), trésorier.

Plusieurs nouvelles commissions ont par ailleurs été constituées afin de répondre au mieux aux besoins des membres de l’AMRC, ainsi qu’aux exigences du secteur au Maroc sur les volets suivants : ressources humaines et affaires sociales, communication et relations extérieures, technique, juridique et sécurité et finances et fiscalité.

Parmi ses objectifs, le nouveau bureau présidé par Othmane Serraj (Phone Group) se donne comme priorité de faire jouer à l’AMRC un rôle moteur dans l’opérationnalisation des contrats de performance et de son contrat d’application, ainsi que dans la mise en place et le suivi de l’écosystème industriel associé, en collaboration avec les acteurs publics et privés. Il s’agira aussi de renforcer l’attractivité de la filière en tant que métier d’avenir pour les jeunes Marocains au sein d’employeurs responsables et citoyens.

L’AMRC, association représentative de la majorité des acteurs de l’offshoring, poursuivra ainsi -par des actions concrètes- sa mission de réinvention des métiers de l’outsourcing au Maroc.

Avec plus de 68.000 employés dans la filière, l’outsourcing fait aujourd’hui partie des activités les plus génératrices de revenu à l’export avec près de 9 milliards de DH en 2016 et continue à afficher une solide croissance, comme le confirment les statistiques de l’Office des Changes.

 
Article précédent

Le français Amethis jette son dévolu sur le Maroc

Article suivant

Oujda : la Banque Populaire s’attaque à la micro-entreprise